Amis amoureux des rĂȘves Mrb, je veux vous parler dâun excellent incident qui mâest arrivĂ© en peu de temps, mais permettez-moi dâabord de me prĂ©senter, je suis Kemal, 38 ans, cĂ©libataire, brune de 180 cm et 80 kg, mariĂ©e depuis 14 ans et mariĂ©e, veuve, cĂ©libataire excitĂ©e insatiable hystĂ©rique, je suis un homme bien soignĂ© et actif qui aide les femmes Ă la recherche de plaisir et de changement de sexualitĂ©. Cette histoire que je vais vous raconter est une histoire qui sâest produite il y a peu de temps. Je travaille pour une entreprise privĂ©e, je prends le mĂȘme bus au mĂȘme arrĂȘt Ă la mĂȘme heure tous les jours, je vais au travail Ă la mĂȘme heure et je reviens Ă la mĂȘme heure, dĂšs que câest arrivĂ©, câĂ©tait un comportement de routine automatisĂ© pour moi maintenant. Câest comme ça que je me retrouve coincĂ©e dans la foule dans le bus comme ça tous les jours, en faisant des allers-retours, il y a un mois, une jeune femme a commencĂ© Ă monter dans le mĂȘme bus trois arrĂȘts aprĂšs mon arrĂȘt, ce qui a attirĂ© mon attention, câĂ©tait vraiment une femme trĂšs bien soignĂ©e et voilĂ©e. Son corps frais se montrait sous son voile, et diffĂ©rents sentiments commençaient Ă sâĂ©veiller en moi Ă son Ă©gard. Un jour ou deux plus tard, quand jâĂ©tais avec la veuve Ă qui jâĂ©tais invitĂ©e, je lâai baisĂ©e en imaginant la femme voilĂ©e que jâai vue dans le bus, et nous en avons profitĂ© chez la dame avec qui jâĂ©tais, mĂȘme si elle ne le savait pas.Ă ce sujet, mais je lâai baisĂ©e un peu plus fort parce que je lâai jetĂ©e en imaginant, la veuve a eu plus de plaisir, elle Ă©tait plus heureuse. Je lâai baisĂ©e un peu plus fort, elle mâa baisĂ© un peu plus fort, elle mâa baisĂ© un peu plus fort, elle mâa baisĂ© un peu plus fort, elle mâa baisĂ© un peu plus fort, elle mâa baisĂ© un peu plus fort, elle mâa baisĂ© un peu plus fort, elle mâa baisĂ© un peu plus fort, elle mâa jetĂ© un peu plus fort. Il est remontĂ© dans le bus, mes yeux le cherchaient, il est remontĂ© en mĂȘme temps du mĂȘme arrĂȘt, le bus Ă©tait un peu plus bondĂ© aujourdâhui, le chauffeur: Passons Ă lâarriĂšre, messieurs, sâil vous plait, ne laissez personne rester sur la route bondĂ©e aujourdâhui, sâil vous plait, quand jâai fait lâannonce, tout le monde a bougĂ© un peu pour avancer, une dame fermĂ©e dont je ne connais pas encore le nom sâest prĂ©sentĂ©e devant moi, jâai fait de la place devant elle pour sâaccrocher, elle est venue, son dos Ă©tait face Ă moi, le bus a commencĂ© Ă bouger, jâĂ©tais si proche, je pouvais presque sentir sa peau, et ma bite sâest rĂ©veillĂ©e, la pierre Ă©tait similaire, Ă un moment donnĂ©, lorsque le bus a dĂ©cĂ©lĂ©rĂ©, mon aine collĂ©e Ă ses hanches, elle avait les hanches comme une pierre, elle a dĂ» sentir la duretĂ© de ma bite sur ses hanches, ces sentiments je me suis excusĂ© auprĂšs de lui, il est revenu vers moi et mâa dit â ce nâest pas grave, ce nâĂ©tait pas de ta faute, mais sa voix de velours suffisait Ă mâachever, et câest lĂ que le dĂ©sir de baiser cette femme a culminĂ©, et le dĂ©sir de la baiser, quoi quâil arrive, Ă©tait gravĂ© dans mon cerveau. Le soir, nous Ă©tions Ă nouveau dans le mĂȘme bus, bien que je sois arrivĂ© Ă mon arrĂȘt, je ne suis pas descendu, jâai suivi la foule Ă distance et je suis descendu Ă lâarrĂȘt oĂč il est descendu, je suis descendu par la porte de derriĂšre, jâai commencĂ© Ă suivre deux rues plus tard, il a tournĂ© Ă droite dans un endroit isolĂ©, il est entrĂ© dans une maison individuelle dâun Ă©tage Ă une centaine de mĂštres, quelques minutes plus tard, une dame a quittĂ© la maison, jâai attendu un peu plus longtemps, puis je suis retournĂ© chez moi. Maintenant que je connaissais votre maison, il restait le reste Ă enquĂȘter et Ă enquĂȘter, en fait, demain Ă©tait dimanche. Le dimanche matin nâest pas ma coutume, mais je me suis levĂ© tĂŽt, je me suis habillĂ©, je suis entrĂ© dans lâĂ©picerie au coin de cette rue, jâai achetĂ© de petites choses, jâai eu une conversation en plaisantant avec la fille Ă la caisse.g-Câest assez isolĂ© autour, il nây a presque personne, jâaimerais que ce soit bien si câĂ©tait comme ça tous les jours, ai â je dit, la fille bĂąilla un peu, dâun ton de voix qui ne sâest pas encore complĂštement rĂ©veillĂ©, et elle a dit en riant-OĂč est-ce, frĂšre, tout le monde se rĂ©veille Ă midi, il y a du monde, ça se transforme en affaires du dimanche. Je lui ai offert quelques biscuits et une barre de chocolat des choses que je lui ai achetĂ©es â tu peux manger au petit dĂ©jeuner, laisse-moi me faire plaisir, ce nâest pas facile pour toi de venir travailler tĂŽt, surtout le dimanche, jâai traĂźnĂ© parce que tu nâas pas dĂ©jeunĂ©, il a ri et mâa remerciĂ©. Je suis parti de lĂ , une rue plus tard, je suis lentement passĂ© devant la maison de cette dame dont je ne connaissais pas encore le nom, il y avait un bruit de bĂ©bĂ© qui venait de lâintĂ©rieur, apparemment elle avait un enfant, mais ça ne mâa pas empĂȘchĂ© de la baiser. Je ne me suis pas attardĂ© trop longtemps pour Ă©viter dâattirer lâattention, je suis passĂ©, je suis rentrĂ© chez moi. Jâai fait mon suivi ce week-end pendant encore trois semaines, nous avons commencĂ© Ă discuter dâici et lĂ , nous nous sommes amĂ©liorĂ©s avec la caissiĂšre, maintenant je pouvais obtenir les informations que je voulais, jâai apportĂ© le mot Ă ce dĂ©sastre â Je suis dans la rue dâĂ cĂŽtĂ©, un voisin a emmĂ©nagĂ© avec nous, je nâarrive pas Ă dormir du bruit dâun bĂ©bĂ© le soir, je ne sais pas qui DĂ©cembre, quand jâai jetĂ© une enveloppe, la caissiĂšre sâest fĂąchĂ©e- abi, ils viennent de dĂ©mĂ©nager, son mari est chauffeur international, elle nâest pas venue depuis un moment, et une femme du quartier mâa dit quâelle sâoccupait de son enfant quand elle allait travailler, elle sâappelait cemile, je pense quâelle nâavait que 22 ans, elle avait une fille ĂągĂ©e de 1,5 ans, et tante Zehra, qui mâen a parlĂ©, sâoccupait dĂ©cemment de lâenfant. Elle a dit que son mari Ă©tait une personne trĂšs indiffĂ©rente et insensible qui ne sâoccupait pas de sa maison, la femme travaillait et sâoccupait de sa maison. La dame nâavait personne autour non plus.JâĂ©tais bouleversĂ© de la mĂȘme maniĂšre â je me sentais vraiment trĂšs dĂ©solĂ© pour lui, le pauvre, et jâavais presque envie de jouer, jâai presque sautĂ© lĂ -haut, jâai serrĂ© le caissier dans mes bras et je lâai remerciĂ©. Ăa ne pouvait pas ĂȘtre une bonne nouvelle pour moi. Jâai eu ce que jâallais avoir, maintenant jâallais faire des plans pour baiser cemile, cette femme aurait dĂ» faire rage sans bite, sans mari, jâallais lâaider, jâallais nourrir sa bite, jâallais continuer mon travail, je faisais des plans et je les cassais, je ne pouvais pas mâen sortir. JâĂ©tais tellement absorbĂ© au travail toute la journĂ©e que mon ami dâaffaires kasımgemal a dit non, non, vous ne remarquerez pas sâils vous baisent tellement absorbĂ©, je suis revenu Ă moi-mĂȘme. Novembre a 42 ans, Bien soignĂ©, mais mariĂ©, câĂ©tait mon ami, nous nâavions aucun secret entre lui et moi, il mâa tout dit, je lui ai tout dit. Je lui ai racontĂ© ce qui sâĂ©tait passĂ© de la façon dont câĂ©tait arrivĂ©, il a ri â le fait que tu sois obsĂ©dĂ© par ça, il a dit quâun soir on irait ensemble, on irait chez toi, on baiserait la salope jusquâau matin. Je suis excitĂ©, pourquoi est â ce-jâai dit dâACCORD-mais combien de temps devrions-nous en faire lâexpĂ©rience. Novembre sâest arrĂȘtĂ© un peu, deux jours plus tard, ta tante ira chez sa mĂšre, elle sâarrĂȘtera pour la nuit, elle me disait que tu pouvais prendre soin de toi, elle a dit que je te ferais savoir, lâaffaire est close. En fait, mercredi matin, le visage de Novembre sourit-kemal, mon ami, tes yeux brillent, ta tante nâest pas Ă la maison demain soir, sois prĂȘt pour demain, elle a dit quâon allait baiser ton cemile. Jâavais dĂ©jĂ noirci mes yeux que cela allait arriver. Le lendemain soir, nous avons quittĂ© le travail avec November, nous sommes montĂ©s dans le bus ensemble, mais nous nous tenions Ă des endroits sĂ©parĂ©s, il me suivait, cemile est montĂ© au prochain arrĂȘt, nous lâavons suivi Ă distance jusquâau bus, gaslime avait lâair plus attrayant ce soir, au dĂ©but, un turban bleu de couleur semblable Ă de lâhuile, une couche de finition pleine longueur sous ses pieds, les talons Ă©taient un dĂ©sastre complet.AprĂšs un long voyage, cemile est descendu Ă lâarrĂȘt de bus, alors nous sommes descendus par la porte de derriĂšre et avons commencĂ© Ă regarder de loin, cemile a tournĂ© Ă droite deux rues plus tard et est rentrĂ© chez lui, nous suivions tous encore de loin, je savais que cemile Ă©tait dedans aprĂšs ĂȘtre entrĂ©e, la voisine sortait, nous nâaurions pas dĂ» la voir. Juste au moment oĂč la femme partait, cemile, la fille a dit, je pars, la fille dort, tu manges, ne tâinquiĂšte pas, elle est partie, la dent a oubliĂ© de fermer la porte, quelle chance, mais nous nous sommes glissĂ©s par la porte de la rue et la porte extĂ©rieure ouverte sans voir personne, et avons lentement fermĂ© la porte. Cemile avait enlevĂ© sa couche de finition et portait une robe noire pleine longueur jusquâaux genoux avec des chaussettes noires brillantes sous sa robe, montrant encore plus la beautĂ© de ses jambes. Il passait de la cuisine au salon, jâĂ©tais juste derriĂšre lui, jâavais peur que mon cĆur se fissure et que cemile entende sa voix battre de la mĂȘme maniĂšre, il nây avait pas de retour en arriĂšre. Je me suis jetĂ© sur Jamila par derriĂšre, jâai enroulĂ© mes bras autour de son corps et je lâai serrĂ©e, Jamila Ă©tait surprise de ce quâelle avait souffert, elle se tenait debout comme si sa langue Ă©tait tenue, elle Ă©tait laissĂ©e comme une idole. Novembre est venu de derriĂšre moi, a rapidement couvert la main cornĂ©e de Cemile avec sa main, les yeux de cemile Ă©taient en forme de sortir de leur place, il tremblait, sur le point de mourir de peur. Il semblait revenir Ă lui, il voulait lui crier Ă lâoreille par derriĂšre â calme-toi, bĂ©bĂ© cemile, ne fais pas de bruit, on va te baiser, jâai dit quâon nâavait aucune autre intention, mais il nâavait aucune intention de mâĂ©couter, il essayait de se dĂ©battre sur mes genoux, de sâattacher, dâessayer de faire des bruits Ă©touffĂ©s. Comme je lâai dit, câĂ©tait une femme crotte de 22 ans, je nâai eu aucun mal Ă la tenir, mais ça nâaurait pas Ă©tĂ© bien pour elle de crier. Jâai appelĂ© November â frappez-le au visage, laissez-le reprendre ses esprits, ma petite chienne, November a envoyĂ© une gifle dure au visage de cemile, la tĂȘte de cemile a Ă©tĂ© jetĂ©e Ă droite dans mes bras, gĂ©missant de douleur, son hijab Ă©tait lĂ©gĂšrement dĂ©formĂ©, certains de ses cheveux sont apparus sous lâimpact de la gifle, jâĂ©tais plus excitĂ© Ă cause des cheveux noirs que je voyais sous le voile, et elle sentait glorieux. Jamileyeg-Ăcoute, ne laisse pas lâenfant se rĂ©veiller Ă lâintĂ©rieur, ne lâenlĂšve pas, bĂ©bĂ©, jâai dit calme-toi. Il secoua la tĂȘte comme sâil allait BIEN, il Ă©tait essentiellement inconscient de la douleur de la gifle. Jâai ouvert les bras, cemile est tombĂ©e au sol, du sang suintait du cĂŽtĂ© de sa bouche, novembre lâa frappĂ©e assez fort, a fait exploser la lĂšvre de ma petite chienne. Je me suis penchĂ©, essuyant le sang suintant de ses lĂšvres avec le bord de son hijab-Regarde, chĂ©rie, dĂ©tends-toi, on ne te fera pas de mal, on va te foutre, cemile a serrĂ© mes pieds dans ses bras quand elle a dit-FrĂšre, sâil te plaĂźt, laisse-moi partir, je suis une femme mariĂ©e avec des enfants, ne me souille pas, je ferai ce que tu veux, jâembrasserai le bas de ton pied, les liquides qui coulaient de ton nez Ă©taient mĂ©langĂ©s Ă des larmes, suppliant pour quoi, jâĂ©tais plus en colĂšre- Dâaccord, putain de salope, jâai dit que je vais te faire lĂ©cher le bas de mon pied, et je me suis assise sur le canapĂ©, jâai enlevĂ© mes chaussures, mes chaussettes, je les ai tendues devant jamila, jamila a Ă©tĂ© surprise, attendant dans un Ă©tat de ne pas savoir quoi faire, attrapĂ© jamila par le hijab mĂ©langĂ© Ă ses cheveux, lâa jetĂ©e devant mes pieds et a dit lĂ©cher salope, jamila me lĂšche les pieds de peur, les larmes de salive et les fluides nasaux se mĂ©langent, Ă©talant son visage sur ses lĂšvres, jamila me lĂšche maintenant les doigts, jâai dit que jamila Ă©tait choquĂ©e par ça chose quâelle a fait pour la premiĂšre fois, mais elle a commencĂ© Ă continuer impuissante, ce qui est plus que cela. Novembre, jamila a Ă©tĂ© surprise, a attrapĂ© jamila par le hijab mĂ©langĂ© Ă ses cheveux, lâa jetĂ©e devant mes pieds et a dit lĂ©cher salope. jamila me lĂšche les doigts maintenant, les larmes et les fluides nasaux se mĂ©langent, jamila me lĂšche les doigts maintenant, jamila est choquĂ©e par cette chose quâelle a faite pour la premiĂšre fois, mais dĂ©sespĂ©rĂ©, il ne pouvait pas le supporter, il a vomi par terre. November roule le journal quâil a trouvĂ© dans la chambre et frappe les fesses de jamila, ce quâil a fait dâune maniĂšre semblable Ă un bĂąton, dâune part, dag-LĂšve â toi, ma fille, ma petite chienne a dit que tu allais encore me lĂ©cher les pieds, jamila sâest tournĂ©e vers mon muscle avec douleur et dĂ©sespoir, elle a commencĂ© Ă lui lĂ©cher les pieds, je suis allĂ© derriĂšre jamila, jâai commencĂ© Ă lui caresser les fesses sur sa robe, elle a levĂ© la tĂȘte et a essayĂ© de me rĂ©sister November a attrapĂ© jamila par le hijab, a collĂ© sa tĂȘte sur le sol et a mis son pied sur son visage November a attrapĂ© jamila par le hijab, posa sa tĂȘte sur le sol et posa son pied sur son visage â Ne bouge pas, ma petite chatte, continue et mets le doigt de lâautre pied dans la bouche de jamila quâil tenait, il nâĂ©tait pas en mesure de rĂ©sister Ă cemile.