gif sexe porno CâĂ©tait presque le soir quand il a dit: âOh, je suis en retard, ma mĂšre va me casser tous les os!Jâai dit. Quand Agha sâest arrĂȘtĂ© et a vu que jâĂ©tais Ă©nervĂ©, il a dit: âNe tâinquiĂšte pas, ça ira, tu rentres Ă la maison maintenant!âdit-il. Alors que je courais vers la maison, jâai vu ma mĂšre un peu plus loin. Quand ma mĂšre mâa vu, elle sâest fĂąchĂ©e et a commencĂ© Ă crier. Je pensais quâil allait le battre quand je serais arrivĂ© Ă lui. Ă ce moment-lĂ , une voix derriĂšre moi a dit: âSurtout arrĂȘte, ma sĆur, quâest-ce que tu fais?âdit-il. CâĂ©tait la voix de lâagha qui sâest arrĂȘtĂ©e et a dit: âIl y avait des cabots devant la fille, elle a eu peur et est arrivĂ©e lĂ , jâai sauvĂ© la fille!âdit-il. Et quand jâai hochĂ© la tĂȘte oui, cette fois ma mĂšre sâest agitĂ©e â â Ăa va, ma fille?âil sâest Ă©treint et a commencĂ© Ă aimer. DurmuĆ agha a dit: âDites bonjour Ă Ekrem!âil a ditâ et est parti. Ce soir-lĂ , je dormais debout sur mon lit en pensant Ă la bite de lâagha, me caressant, ma premiĂšre Ă©jaculation.Il sâattarda le matin, et vers midi il dit Ă ma mĂšre: âDois-je aller Ă lâeau?âJâai demandĂ©. âMa fille, les chiens attaquent, tu pars avec ton pĂšre le soir!âdit-il. Mais jâaurais dĂ» mâarrĂȘter et voir lâagha, je voulais revivre ce sentiment aprĂšs le plaisir dâhier. âMaman, je vais prendre un bĂąton dans ma main, et je vais passer par lâouverture arriĂšre!Jâai dit. Ma mĂšre a dit: âMa fille, cette route sera trop loin, tu seras fatiguĂ©e!âquand il a dit:â Laisse faire!âJâai dit:â Jâai convaincu ma mĂšre. Mais comme je savais quâil nây avait pas de chien ou quoi que ce soit, jâai pris un raccourci vers la crique. Jâai essayĂ© 5-6 fois, mais il sâest arrĂȘtĂ© et nâest pas venu au filet. Je me demandais si jâĂ©tais arrivĂ© en retard. Le lendemain, je suis retournĂ© Ă lâeau le matin, mais DurmuĆ aÄa nâĂ©tait pas lĂ non plus ce jour-lĂ . Je pensais par ignorance sâil ne reviendrait pas, si je ne pouvais pas plaire him.It cela faisait 4 jours en dĂ©cembre. Nous allions en ville le dimanche tous les mercredis. Parfois, je restais Ă la maison et faisais le mĂ©nage. Mon pĂšre a emmenĂ© ma mĂšre et mon petit frĂšre tĂŽt le matin et est allĂ© le dimanche vendre des lĂ©gumes cueillis dans le jardin. Jâai donc fait les corvĂ©es Ă la maison autant que je pouvais et je suis allĂ© remplir le ruisseau dâeau. La prochaine chose que jâai regardĂ©e, lâagha se tenait au bord du ruisseau, attendant, je suis immĂ©diatement allĂ© vers lui. DĂšs que je suis arrivĂ© Ă cĂŽtĂ© de lui, il mâa serrĂ© fermement sans parler et sâest penchĂ© et sâest accrochĂ© Ă mes lĂšvres. AprĂšs sâĂȘtre embrassĂ©, il a dit ââ Est-ce que je tâai manquĂ©, ma petite chienne?âdit-il. Jâai hochĂ© la tĂȘte dâune maniĂšre timide. Il sâest arrĂȘtĂ©, a froncĂ© les sourcils devant le rĂ©seau et a dit: âParle, ma fille!âil a ditâ et mâa claquĂ© le cul. âOui, ça me manque!Jâai dit. Il a ri â â Tu as Ă©tĂ© blessĂ©, nâest-ce pas, petite salope? Je tâavais dit que tu deviendrais accro Ă ma bite, tu me suivrais partout! Dis-moi, tu es attirĂ© par moi, nâest-ce pas?âdit-il.Il sâest arrĂȘtĂ© pendant que je regardais simplement le rĂ©seau et a de nouveau froncĂ© les sourcils, alors jâai immĂ©diatement dit: âOui, oncle DurmuĆ!Jâai dit. âĂ partir de maintenant, quand je serai seul, tu mâappelleras un Stoner, tu mâappelleras un baiseur, tu mâappelleras le propriĂ©taire de ma chatte, tu mâappelleras mon homme! Tu parleras racĂ© quand tu seras avec moi, je tâapprendrai tout! Maintenant, dis-moi, quâest-ce qui dĂ©range ma petite chatte?âdit-il. âEh bien⊠que tu mâas embrassĂ©, que tu mâaimais⊠Et ça⊠câest pour ça que tu lâas vidĂ©!âil a dit:â Jâai baissĂ© la tĂȘte de honte. Durmu agha mâa immĂ©diatement attrapĂ© par les bras et mâa emmenĂ© derriĂšre les buissons. Il avait manifestement fait des prĂ©paratifs Ă lâavance, car il avait posĂ© un tapis sur le sol et apportĂ© de la nourriture et des boissons.Il a immĂ©diatement enlevĂ© son pantalon et ses vĂȘtements, il nâavait que ses maillots. âAllez, bĂ©bĂ©, dĂ©shabille-toi et sers aussi ton homme!âdit-il. Jâavais honte, mais je ne pouvais pas arrĂȘter de faire tout ce quâil disait. DĂ©shabille-toi, recroqueville â toi sur le tapis avec seulement mes petits sous-vĂȘtements et assieds-toi. Elle sâest blottie Ă cĂŽtĂ© de moi et sâest assise et sâest accrochĂ©e Ă mes lĂšvres. AprĂšs nous ĂȘtre embrassĂ©s pendant un moment, nous avons commencĂ© Ă manger ce quâils avaient apportĂ©. Il sâest arrĂȘtĂ© et aÄa me caressait constamment, serrant mes petits seins. Ă ce moment, sa bite Ă©tait levĂ©e, touchant son ventre. Puis il mâa levĂ© et a commencĂ© Ă embrasser mon entrejambe et mon nombril. Un peu plus tard, il a baissĂ© mon pantalon et lâa ramenĂ© Ă mes chevilles. Puis il sâest assis les jambes croisĂ©es et mâa fait asseoir sur ses genoux. Ă ce moment-lĂ , mes sous-vĂȘtements se sont complĂštement dĂ©tachĂ©s de mes pieds. Maintenant, jâĂ©tais sur ses genoux avec mon petit corps, sa bite Ă©tait entre mes jambes. Dec.As dĂšs quâil sâest accrochĂ© Ă mes lĂšvres, il me caressait lâentrejambe et les seins avec ses mains. Sa bite entre mes jambes nâarrĂȘtait pas de frotter contre ma chatte.DĂ©c. Je pouvais sentir tout mon corps en feu, une sensation agrĂ©able commençait Ă se rĂ©pandre dans tout mon corps. DurmuĆ agha connaissait trĂšs bien son travail. Il a quittĂ© mes lĂšvres et a commencĂ© Ă embrasser mon cou, mon visage. Puis il a commencĂ© Ă prendre et Ă laisser tomber mes petits seins dans sa bouche un par un. Ses mains nâĂ©taient pas inactives, il me caressait constamment, mes seins Ă©taient lĂ©chĂ©s et embrassĂ©s, sa bite frottait contre ma chatte. Je lâai serrĂ©e dans mes bras avec extase â â Ohhhhhh, ahhhhh!â Je commençais Ă gĂ©mir. Puis il a pris ma main et lâa prise sur sa bite, lui a fait caresser sa bite. Pendant que je caressais sa bite, le rĂ©seau sâest arrĂȘtĂ© et a commencĂ© Ă me dire quelque chose Ă lâoreille. Ses mots Ă©taient gravĂ©s dans mon cerveau. Il voulait que je dise ce quâil disait, je disais ce quâil voulait. Il a Ă©galement mis sa main dans ma chatte et a commencĂ© Ă me caresser. Au bout dâun moment, je sortais en tremblant. Ă ce moment-lĂ , il a dit: âAllez, dis-moi ce que je tâai appris!âquand il a dit, jâai dit ââ Je me suis arrĂȘtĂ©, baise-moi, mets ma chatte, mec!âJâai dit:â Jâai commencĂ© Ă gĂ©mir. Et puis je me suis effondrĂ© sur ses genoux.DurmuĆ agha mâa doucement remis au sol. Il sâest Ă©galement allongĂ© sur moi et nous avons commencĂ© Ă nous embrasser. Jâembrassais comme une folle avec lâintensitĂ© de lâĂ©motion donnĂ©e par le plaisir que jâĂ©prouvais. Junon. Vous aimerez cette situation qui, â Bravo petite chatte, tu as appris Ă bien embrasser, tu seras une trĂšs bonne chienne, ma petite chatte!âdit-il. Puis il mâa embrassĂ© sur le cou, et de lĂ il a atterri sur mes seins. Ă ce moment-lĂ , il pressait ma chatte de bite comme un pieu. Les baisers et les caresses constants de moi et la bite frottant contre ma chatte mâont fait me tortiller Ă nouveau. Je goĂ»tais juste ces sensations, mais jâaime vraiment ça, jâavais lâimpression de voler. âAllez, dis-moi, quâest-ce que tu veux!âquand elle dit:â Mange-moi, mec, aime-moi, embrasse-moi, lĂšche-moi partout, baise ma chatte, sois mon baiseur!â Jâai commencĂ© Ă gĂ©mir.Durmu agha se redressa lĂ©gĂšrement et sourit. En me regardant dans les yeux, il a dit: âRegarde maintenant, ma petite chatte, je vais mettre ma bite dans ta chatte et te baiser!âdit-il. Il a attrapĂ© sa bite de son torse et a lentement commencĂ© Ă la frotter dans le trou de ma chatte. âĂa va faire mal parce que câest le premier, mais aprĂšs on sâhabitue!âaprĂšs avoir dit cela, il a mis le bout de sa bite dans lâembouchure de mon trou et a commencĂ© Ă charger. Mais la tĂȘte de sa grosse bite ne viendrait en aucun cas dans ma petite chatte. âTu as une chatte aussi grosse quâune noix, salope, mais je vais casser ta petite chatte, câest impossible!âaprĂšs avoir dit cela, il mâa appuyĂ© fort sur mes seins dâune main, a serrĂ© sa bite de lâautre main et a commencĂ© Ă faire marcher lĂ©gĂšrement la tĂȘte de sa bite Ă travers mon trou. Et puis tout dâun coup, jâai senti un Ă©clair dans mon cerveau avec elle poussant sa taille vers lâavant. Avec une douleur incroyable, il a dit: âĂa fait tellement mal sortez-le, laissez-moi sortir la victime, sortez-la, mon oncle, je suis brĂ»lĂ©!â Jâai commencĂ© Ă crier. Je me suis Ă©vanoui Ă ce moment-lĂ .Quand je suis revenu Ă moi au bout dâun moment, mes hanches se tenaient sur les genoux de lâagha, il a attrapĂ© ma taille fine avec ses mains, bougeant constamment sa taille dâavant en arriĂšre. La douleur dans ma chatte sâĂ©tait un peu attĂ©nuĂ©e, mais ça faisait toujours mal. Quand il mâa vu ouvrir les yeux, il a dit â â Es-tu sobre, yoshmam? Ăcoute, aide ta petite chatte! Ohhhhhhh!âil gĂ©mit. Jâai levĂ© la tĂȘte et jâai regardĂ© vers la fouille des jambes, un gonflement sâĂ©tait formĂ© sur le dessus de ma chatte, les lĂšvres de ma chatte Ă©taient dĂ©couplĂ©es des deux cĂŽtĂ©s. Plus de la moitiĂ© de la bite entrait en moi, puis elle ressortait Ă nouveau, Ă lâexception de la tĂȘte. Et quand jâentrais et sortais, les deux petites lĂšvres de ma chatte se repliaient et sortaient avec la bite.Quand elle a vu que je mâarrĂȘtais et regardais le filet Ă la recherche de jambes, elle a dit: âTu vois, petite salope, il baise ton homme, jâai fait sauter ta fille, ohhhh, maintenant je suis ma femme Dec!âdit-il. âĂa fait mal, je nâaime pas ça!Jâai dit. DurmuĆ agha a dit: âNe tâinquiĂšte pas, tu tây habitueras, petite salope, surtout si je te baise une ou deux fois de plus, tu deviendras un maniaque de la bite!âdit-il. Pendant ce temps, il insĂ©rait et retirait constamment sa bite dans ma chatte. Je pouvais sentir toutes les lignes de sa bite en moi Ă chaque fois quâil entrait et sortait. Un peu plus tard, il a quittĂ© ma taille et a commencĂ© Ă pĂ©trir et Ă serrer mes petits seins. Ă ce moment-lĂ , il a augmentĂ© son rythme et allait et venait plus vite vers moi maintenant. Je lâapprĂ©ciais un peu, mais la douleur et la brĂ»lure que je ressentais lâĂ©taient davantage. Durmus agha, â Ohhhh, tu es serrĂ©e, salope, ta chatte est chaude et serrĂ©e, ohhhh, ma bite se rĂ©gale, petite chatte!âil a commencĂ© Ă dĂ©lirer. Maintenant, il entrait et sortait des extases. Ma chatte Ă©tait sous lâinvasion dâune Ă©norme bite. Le plaisir que je ressentais commençait Ă augmenter, mais la brĂ»lure et la douleur de ma chatte ne disparaissaient pas.âJe vais fertiliser ta chatte comme une noix, mes graines voyageront Ă lâintĂ©rieur de ta petite chatte!âil a commencĂ© Ă marmonner. Au bout dâun moment, il a dit: âVoici la progĂ©niture de lâagha, salope! Ahhhh, tu mâas fini!âil a criĂ© et mâa chargĂ© de toutes ses forces et a continuĂ© Ă serrer mes seins fermement. DĂšs que jâai senti quelque chose couler en moi, un Ă©clair a clignotĂ© dans mon cerveau, jâai Ă©tĂ© terriblement blessĂ©, Il sâest arrĂȘtĂ©, a collĂ© sa bite jusquâau fond du filet, son entrejambe sâest collĂ© Ă moi. Je pensais que jâallais mâĂ©vanouir Ă nouveau Ă cause de la douleur que je ressentais. Les yeux de DurmuĆ agha avaient bougĂ©, et il y avait une grande expression de bonheur sur son visage.Puis il sâest levĂ© de moi et sâest redressĂ©, tandis que sa bite sortait lentement de ma chatte. Ă ce moment-lĂ , ma chatte sâest dĂ©tendue. Quand il sâest arrĂȘtĂ© et a atteint le bord du filet, sa bite a attirĂ© mon attention, elle Ă©tait rouge et blanche sur lui, et il y avait un peu de sang sur ses genoux. Je me ressaisis un peu et cherchai des jambes, des dĂ©coctions mĂ©langĂ©es de sang flottaient hors de ma chatte. Les endroits oĂč mon corps Ă©tait pressĂ© sont devenus cramoisis. Durmus agha a dit: âLe sperme dâAgha flotte hors de ta chatte, câĂ©tait trĂšs doux, Ă partir de maintenant tu es Ă moi maintenant, je vais te baiser et te baiser et remplir ton cul de chatte de mon sperme, je vais te faire boire mon sperme, ma petite chatte!âon lui a dit. CâĂ©tait Ă©trange Ă lâintĂ©rieur, je me sentais diffĂ©rent.Le temps coulait comme de lâeau, il Ă©tait midi. Durmu agha est venu laver sa bite dans le ruisseau et a dit â â Va bien te laver la chatte!âdit-il. MĂȘme si câĂ©tait un peu difficile, je me suis levĂ© et jâai lavĂ© ma chatte dans le ruisseau. Mais je ne pouvais pas mettre mes jambes ensemble dâune maniĂšre ou dâune autre. Les lĂšvres de ma chatte Ă©taient rouges et encore enflĂ©es. Quand je suis revenu vers lui, il mâa allongĂ© sur le dos sur le tapis. Je me suis agitĂ©â âOncle DurmuĆ sâil te plaĂźt, ne me baise pas, ça fait trĂšs mal, laisse-moi mettre ta bite dans ma bouche, laisse-moi te rendre si heureux!Jâai dit. âNe tâinquiĂšte pas, je ne te baiserai plus aujourdâhui! Tu mâas rendu trĂšs heureux, alors je vais tâoffrir un cadeau! Maintenant, ne vous pressez pas, Ă©cartez largement les jambes!âaprĂšs avoir dit cela, il a mis sa tĂȘte entre mes jambes et a commencĂ© Ă me lĂ©cher la chatte. DĂ©c.Je lâapprĂ©ciais incroyablement. Et il me lĂ©chait la chatte en faisant des claques, enfonçant sa langue dans mon trou et la retirant. Le plaisir que jâobtenais augmentait Ă chaque seconde. Il a arrĂȘtĂ© de me lĂ©cher la chatte et a dit: âAllez, dis-moi Dec!âdit-il. âMange-moi, agha, laisse â moi ĂȘtre une victime pour toi, mon baiseur, mon homme, le propriĂ©taire de ma chatte!âJâai gĂ©mi. Au bout dâun moment, jâai serrĂ© sa tĂȘte avec mes pieds et jâai commencĂ© Ă gĂ©mir et Ă Ă©jaculer.