grosse maman baise Notre aventure Dakar Sénégal.
Comme tout le monde dans le quartier, j’ai involontairement commencĂ© Ă regarder ma femme, quand elle m’a laissĂ© Ă la tĂŞte d’un vieux Nègre qui Ă©brĂ©chait une Ă©norme racine d’arbre avec un gros couteau tranchant Ă la main, et s’est dirigĂ©e vers l’une des huttes locales oĂą des centaines de souvenirs ont Ă©tĂ© vendus. Pour dire la vĂ©ritĂ©, nous allions bien. Parce que la vue devant nos yeux Ă©tait du genre dont nous ne pouvons pas nous lasser.
Ses chaussures blanches Ă talons hauts et Ă bride Ă la cheville Ă©tiraient ses jambes blanches et d’une beautĂ© Ă©blouissante au point oĂą elle avait l’impression que cela ne finirait jamais. Bien sĂ»r, cela Ă©tait en partie dĂ» au fait que la jupe en coton blanc transparent qu’elle portait Ă©tait incroyablement courte. Le tissu doux ne pouvait couvrir qu’un pouce en dessous de l’endroit oĂą les hanches arrondies rencontraient ces belles jambes, qu’il avait doucement glissĂ©es entre elles.
Je l’ai dĂ©tournĂ© des yeux un instant et j’ai regardĂ© les autres qui le regardaient. Au marchĂ© artisanal, il n’y avait pas d’autres blancs que ma femme et moi. Je ne pouvais voir aucune autre femme dans les parages. Pour faire court, ce sont tous des hommes noirs qui ont Ă©tĂ© surpris en train de regarder ma femme marcher maintenant vers la cabane. Des hommes noirs sĂ©nagalais de tous âges.
Ma femme Ă©tait certainement au courant de cette situation. Cela Ă©tait Ă©vident d’après sa promenade. Ses hanches Ă©taient sexy Ă chaque pas qu’elle faisait. Il suffisait d’un coup d’Ĺ“il pour se rendre compte qu’elle ne portait aucune culotte sous sa jupe. Comme elle transpirait un peu Ă cause de la chaleur, le tissu fin Ă©tait maintenant bien entre ses hanches. La partie supĂ©rieure de la robe Ă©tait Ă nouveau en coton peignĂ© Ă fines lanières de coton blanc. Bien que la partie avant Ă©tait fermĂ©e, il y avait un dĂ©colletĂ© Ă l’arrière qui montrait presque tout son dos. Ă€ chaque pas qu’il faisait, ce creux vertigineux, partant entre ses omoplates et descendant le long de sa colonne vertĂ©brale, bougeait Ă©galement avec la bousculade de ses hanches.
Puis mon Ĺ“il est tombĂ© sur la porte du chalet, qui Ă©tait la cible de ma femme. Il y avait deux nègres debout lĂ . Deux Nègres, grands, filiformes, et noir corbeau, comme presque tous les SĂ©nĂ©galais. Tous deux portaient leurs vĂŞtements locaux, Ă savoir de longues robes dont la couleur principale Ă©tait le blanc, mais avec des broderies colorĂ©es dessus. Je ne pouvais pas deviner leur âge, mais je pouvais dire que l’un d’eux Ă©tait beaucoup plus jeune que l’autre. Leurs deux yeux Ă©taient fixĂ©s sur ma femme. Bien que ceux qui regardaient de derrière ne pouvaient pas le voir, je savais qu’eux aussi avaient un spectacle magnifique devant leurs yeux. Il ne portait pas de soutien-gorge parce qu’il faisait chaud et que ma femme n’aimait pas le porter. Sous le tissu doux et fin, ses mamelons Ă©taient visibles.
Enfin arrivĂ© Ă la cabine, ma femme. Il est entrĂ© le premier, puis deux nègres se tenant devant la porte et le scrutant des yeux. Je ne pouvais plus les voir. Je tourne la tĂŞte et tourne mon attention vers le vieux nègre qui fait un hippopotame, Ă©brĂ©chant cette Ă©norme racine d’arbre avec le couteau tranchant Ă la main. En effet, le vieil homme avait des mains habiles. Il a eu du mal Ă Ă©brĂ©cher la racine, ce qui s’est avĂ©rĂ© assez difficile, mais il a toujours rĂ©ussi Ă ne couper ni trop ni trop peu. Ă€ tel point qu’en le regardant, on ne se rendait presque pas compte que le temps passait.
Quand j’ai regardĂ© de cĂ´tĂ© depuis la cabine dans laquelle ma femme venait d’entrer, je n’ai vu aucun mouvement. Ce n’Ă©tait pas visible d’oĂą j’Ă©tais. Puis j’ai regardĂ© autour de moi. Chacun Ă©tait occupĂ© avec ses propres affaires. Rien de mieux pour dire que ma femme n’avait pas encore quittĂ© cette cabane. S’il l’avait fait, l’attention de ceux qui l’entouraient serait, bien sĂ»r, dirigĂ©e vers son emplacement. InĂ©vitablement, je suis devenu un peu curieux. Qu’est-ce qu’il faisait lĂ -dedans tout ce temps? J’ai demandĂ© au vieux nĂ©gro: “combien de temps vous faudra-t-il pour terminer le travail”. Parce que je voulais acheter cette belle Ĺ“uvre d’art que j’ai regardĂ© se faire. D’après ce qu’il a dit, j’ai dĂ» attendre encore une heure. J’ai donc commencĂ© Ă marcher vers la cabane dans laquelle ma femme Ă©tait entrĂ©e. J’aurais pu revenir plus tard pour rĂ©cupĂ©rer l’hippopotame de toute façon.
L’intĂ©rieur de la cabane Ă©tait presque sombre Ă mes yeux, Ă©bloui par le soleil Ă©clatant Ă l’extĂ©rieur. Par consĂ©quent, il a fallu un certain temps avant que je puisse voir ce qui se passait. La première chose que j’ai remarquĂ©e a Ă©tĂ© l’odeur Ă l’intĂ©rieur de la cabine. Le parfum doux et Ă©tonnant de la marijuana. Quand mes yeux s’y sont habituĂ©s, la première chose que j’ai vue Ă©tait cette expression formidable sur le visage de ma femme. Ses yeux Ă©taient lĂ©gèrement plissĂ©s. Sa bouche Ă©tait entrouverte. Les traits de son visage montraient qu’il Ă©tait extrĂŞmement excitĂ©. Puis mes yeux ont commencĂ© Ă remarquer les dĂ©tails. Ma femme se tenait devant une table avec une pile de petits bibelots fabriquĂ©s Ă la main dessus. Le plus jeune des Nègres Ă©tait juste Ă cĂ´tĂ© de lui. L’ancien est derrière lui.
– “Nous sommes arrivĂ©s dans un très bel endroit, mon amour…” a dit ma femme en me voyant.
– “Comment ça..?”
Il Ă©tait impossible que les nègres nous comprennent parce que nous parlions une langue Ă©trangère. Ma femme a levĂ© la main et m’a montrĂ© ce qu’elle tenait fermement. C’Ă©tait une Ă©norme bite noire en Ă©bène. Ma femme avait ses doigts enroulĂ©s autour d’elle. C’Ă©tait comme s’il tenait une vraie bite.
– “ChĂ©rie, ils vont me baiser…” dit-il après coup.
– “Comment ça..?”J’ai demandĂ© Ă nouveau.
– “Si tu Ă©tais venu un peu plus tard, tu m’aurais vu aussi, ma chĂ©rie…”
– “Est-il lĂ ..?”
– “Oui, ici… Avant que tu entres, la personne derrière moi avait sa main entre mes jambes… j’Ă©tais sur le point de me cogner le cul, tu sais..? Mais quand tu es venu, il avait un peu peur. Il m’a enlevĂ© sa main…”
Je me suis soudainement senti extrĂŞmement excitĂ©. Ma bite s’est relevĂ©e et s’est Ă nouveau transformĂ©e en pieu. La perspective que ma femme se fasse baiser dans un endroit comme celui-ci Ă©tait assez vertigineuse. J’ai regardĂ© les nĂ©gros. Ils Ă©taient un peu confus car ils ne comprenaient pas de quoi nous parlions. Ils Ă©taient tous les deux si grands que ma femme ressemblait Ă un enfant Ă cĂ´tĂ© d’eux. Mais le contraste frappant Ă©tait leur noirceur et la blancheur de ma femme.
– “Je suppose que j’ai foirĂ©, alors”” dis-je Ă ma femme, ” Je peux y retourner si tu veux””
– “Non non chĂ©rie… je veux que tu regardes pendant qu’il se fait baiser…”
“Mais je suppose qu’ils avaient peur de moi…”
– “Au bout d’un moment, ils se rendront compte qu’il n’y a pas besoin d’avoir peur… N’y va pas Just Regarde-moi m’ennuyer Then Alors j’ai beaucoup plus de plaisir, tu sais””
Bien sĂ»r que je le savais. D’ailleurs, c’est tout ce que je voulais. En le regardant se faire baiser, rejoignez-le si possible ou baisez – le plus tard. Je l’apprĂ©ciais Ă©normĂ©ment.
D’ailleurs, ma femme commençait dĂ©jĂ Ă agir comme si elle voulait montrer aux Noirs qu’ils ne devraient pas avoir peur de moi. Il avait apportĂ© son autre main et avait commencĂ© Ă caresser cette Ă©norme bite en bois, qu’il tenait fermement d’une main, comme une vraie. En faisant cela, elle n’a jamais quittĂ© les miens des yeux. Mais j’essayais de temps en temps de dĂ©tacher mes yeux des siens et de regarder ce que faisaient les nègres. Ils regardaient tous les deux ma femme, comme hypnotisĂ©s. Je ne pouvais pas voir l’Ă©tat du vieil homme derrière lui, mais le devant de la robe du jeune homme noir debout Ă cĂ´tĂ© de lui Ă©tait gonflĂ© comme une tente. Quand ma femme a rĂ©alisĂ© oĂą je regardais, elle m’a quittĂ© des yeux et a regardĂ© devant le nègre.
– “Vois comment j’ai relevĂ© ta bite…” murmura-t-elle, puis, ” C’est une grosse bite…”
Ma femme regardait juste lĂ maintenant. Pendant ce temps, le coq de bois qu’il tenait dans une main continuait Ă le caresser de l’autre. C’Ă©tait comme s’il y avait un Ă©norme courant Ă©lectrique dans l’air. Du moins c’est ce que je ressentais. J’ai soudain rĂ©alisĂ© que j’Ă©tais toujours debout devant la porte du chalet. Puis mes yeux ont remarquĂ© le rideau blanc sur le cĂ´tĂ©. C’Ă©tait un rideau fixĂ© au-dessus de la porte, et maintenant il s’Ă©tait affaissĂ© sur le cĂ´tĂ© et s’Ă©tait ouvert. J’ai tendu la main et fermĂ© le rideau. Ainsi, nous Ă©tions un peu plus coupĂ©s du monde extĂ©rieur. En mĂŞme temps, j’ai remarquĂ© que les nègres allaient mieux. Maintenant, ils ont tous les deux dĂ» comprendre qu’ils ne devaient pas avoir peur de moi et qu’ils pouvaient baiser ma femme.
Sur la table Ă cĂ´tĂ© du vieux nègre se tenait une petite statue. Je l’ai pointĂ© du doigt et l’ai demandĂ© Ă l’homme. Il l’a pris et me l’a tendu. Mais il n’a mĂŞme pas bougĂ© pendant qu’il le faisait. Donc il Ă©tait toujours derrière ma femme. De plus, entre nous se trouvait la grande table pleine de bibelots, devant laquelle se tenait ma femme. Lui et moi avons dĂ» tendre les bras. Au fait, le nègre s’appuyait sur ma femme par derrière, bien sĂ»r.
– “Mon amour”” murmura ma femme, ” Quel genre de bite a ce mec… Il va presque me percer le dos””
Les lignes du visage de ma femme Ă©taient tendues maintenant. La connaissant si bien, je savais tout de suite que les lèvres de sa chatte Ă©taient grandes ouvertes, la chatte glissante rendant toute son aine et mĂŞme ses jambes dĂ©trempĂ©es. Elle voulait se faire baiser, elle. Il voulait se faire baiser devant moi en me faisant regarder. Et il ne restait plus grand-chose pour que cela se produise. Ses yeux Ă©taient toujours fixĂ©s sur le renflement en forme de tente devant la robe du jeune Nègre debout Ă cĂ´tĂ© de lui. J’ai montrĂ© Ă ma femme les motifs sur la statue que j’ai reçue du vieux nĂ©gro. Ă€ cause de la table dans sa recherche, il a dĂ» se pencher au-dessus de la table pour la voir. Pour ce faire, il a naturellement placĂ© le coq en bois qu’il tenait Ă deux mains au milieu de la table et a obtenu son soutien. Au fait, Il faisait aussi quelque chose de mortel, surtout pour l’homme noir qui se tenait derrière lui. PenchĂ©e ainsi en avant, sa jupe courte Ă©tait bien Ă©cartĂ©e, rĂ©vĂ©lant ses hanches nues Ă mi-chemin.
Nous avons revu eyes avec ma femme. Pendant ce temps, mes yeux sont rivĂ©s sur l’homme noir debout derrière lui. plus prĂ©cisĂ©ment, il a trĂ©buchĂ© sur un mouvement qu’il Ă©tait en train de faire. Sa main avait bougĂ© et Ă©tait dirigĂ©e entre les jambes de ma femme. J’ai recommencĂ© Ă regarder dans les yeux de ma femme. Tout Ă coup, tout son corps trembla et ses yeux se plissèrent.
– “Ohhhhh…” gĂ©mit-il, ” Il m’a attrapĂ© le cul, chĂ©rie…”
Maintenant, il s’appuyait un peu plus sur la table. Son dos Ă©tait pliĂ© et ses hanches semblaient relevĂ©es. Ainsi, sa jupe Ă©tait maintenant remontĂ©e presque jusqu’Ă sa taille. J’ai vu le nègre apporter son autre main et commencer Ă pincer le cul de ma femme. C’Ă©tait tellement excitant que cette Ă©norme main noire aux longs doigts glissant sur la peau pâle de ma femme que ma bite avait l’impression qu’elle allait craquer. Puis nous nous sommes retrouvĂ©s face Ă face avec ma femme Ă nouveau.