fille russe blonde Bonjour. Tout d’abord, permettez-moi d’affirmer que la fiction et les personnages de l’histoire sont complètement fictifs…
OÄźuz est gĂ©rant de cafĂ© dans une ville Ă faible densitĂ© de population. Les Ă©lèves du lycĂ©e voisin viennent gĂ©nĂ©ralement dans ce cafĂ© et obtiennent une impression pour leurs devoirs. Ayten Ă©tait une fille de 18 ans, mesurant 1,70 m, aux cheveux bruns, qui Ă©tait en dernière annĂ©e de ce lycĂ©e. Par une soirĂ©e fraĂ®che, la sortie de l’Ă©cole de cette nana croustillante passe Ă nouveau au cafĂ©.
Ayten: Oğuz frère, es-tu disponible demain à midi?
Oğuz: Non, Ayten, y a-t-il un problème?
Ayten: Frère OÄźuz, lorsque je dĂ©marre l’ordinateur, il n’y a pas d’image sur le moniteur. Tu ferais mieux de vĂ©rifier ça demain avant que j’aille Ă l’Ă©cole.
Oguz: D’accord avec toi. Si je trouve quelqu’un pour s’occuper de l’endroit demain, je m’en occuperai..
En fait, OÄźuz soupire quand il voit la jupe au-dessus du genou et les bas en nylon d’Ayten couvrant ses belles jambes chaque fois qu’elle vient au cafĂ©. MĂŞme s’il voyait Ayten pendant cinq minutes, le monde lui appartiendrait et cette panne d’ordinateur Ă©tait une bĂ©nĂ©diction pour lui. Le lendemain, OÄźuz ne pouvait pas rester immobile Ă midi, imaginant de quelle couleur de chaussettes Ayten porterait. Finalement, c’Ă©tait l’heure du dĂ©jeuner, et Ayten est venue Ă son appartement pour voir les chaussettes dont elle rĂŞvait et qu’elle dĂ©sirait. Probablement Ă cause de l’excitation, OÄźuz appuya timidement sur la sonnette.
Ayten: Qui est-ce?
Oguz: Mon Aïten. Oguz du café.
Alors que la porte s’ouvrait, le rythme cardiaque d’Oguz s’Ă©tait un peu accĂ©lĂ©rĂ©.
Ayten: Bienvenue Ă toi Abi
OÄźuz: Nous l’avons trouvĂ© bienvenu Ayten
Ayten: Je t’ai donnĂ© des ennuis mais
Oğuz: Quelle galère.
Pendant qu’Ayten lui remettait ses pantoufles Ă porter Ă la maison, OÄźuz regardait les bas en nylon fumĂ© couvrant ses jambes. Il Ă©tait intriguĂ© par la couleur qui ornerait ses fantasmes la nuit.
Ayten: Frère OÄźuz, l’ordinateur est dans le salon. Que puis-je vous offrir, que boirez-vous?
Oguz: Merci Ă toi, HĂ©lène. Merci. J’ai bu beaucoup de cafĂ© sur place. Je n’achète rien pour l’instant.
OÄźuz est allongĂ© sur le dos sous le bureau de l’ordinateur dans le salon. Son but Ă©tait de profiter de l’opportunitĂ©, Ă l’exception du dysfonctionnement, de filtrer les magnifiques bas nylon fins fumĂ©s d’Ayten. En fait, elle a immĂ©diatement dĂ©terminĂ© que le dysfonctionnement de la machine Ă©tait dĂ» au câble desserrĂ©. Mais ce serait une dĂ©ception pour OÄźuz de rĂ©parer ce dĂ©faut immĂ©diatement, alors qu’il Ă©tait si proche de ces beaux pieds et jambes qu’il dĂ©sire tous les soirs. OÄźuz courait des renards sur sa tĂŞte afin de voir de plus près les chaussettes d’Ayten. Après avoir rassemblĂ© le courage et pris une profonde inspiration…
OÄźuz: Ayten, peux-tu t’asseoir devant l’ordinateur?
Ayten: D’accord, OÄźuz, je suis assis en ce moment.
OÄźuz: Appelez-moi quand il y a une image sur le moniteur
Ayten: D’accord mon frère.
OÄźuz bricolait le câble du moniteur dans la direction qu’il voulait, tandis qu’Ayten criait que l’image allait et venait, ignorant ce qui se passait. C’est-Ă -dire jusqu’Ă ce qu’Ayten remarque la tente dressĂ©e d’Oguz Ă ses pieds…
Alors qu’Ayten Ă©tait lĂ©gèrement Ă©tonnĂ©e de la vue qu’elle voyait, elle poussa doucement le haut de la tente avec ses chaussettes de couleur fumĂ©e qui couvraient ses orteils.
Ayten: Non, frère Oguz?
Oguz Ă©tait sans voix, et il n’avait jamais pensĂ© que son outil le trahirait pendant qu’il prenait un bain oculaire dĂ©colorĂ©. Sa langue et ses lèvres ne pouvaient pas rĂ©pondre Ă cette voix. D’une part, l’image des pieds en bas nylon, dont il rĂŞvait depuis des mois, lui revient encore et encore Ă l’esprit, touchant son outil. Il Ă©tait presque sous le choc. Ayten a augmentĂ© le coup du coup qu’elle venait de faire…
Ayten: HĂ© frère Oguz, je t’appelle. Est-ce que tu vas bien? (Avec un petit rire espiègle)
Oguz: Désolé (prenant une profonde inspiration) Je suis tellement gêné pour toi
Ayten: Votre petit n’a pas l’air très gĂŞnĂ©, mais (Il restait en contact avec le haut de la tente avec ses chaussettes fumĂ©es, coups doux)
Oguz: Que peut faire le petit, il est si beau Ayten est entrée en hypnose quand elle a vu des chaussettes avec des pieds
: Donc tu as un faible pour les pieds avec des chaussettes.
OÄźuz: Ce serait un mensonge si je disais non. Vous voyez l’Ă©tat du petit (d’une manière un peu plus dĂ©tendue)
Ayten: J’ai un peu d’expĂ©rience en la matière, je peux comprendre un peu votre situation (Les coups lĂ©gers sur le haut de la tente ont maintenant laissĂ© leur place Ă de douces frictions)
Oguz: Comment? Avez-vous dĂ©jĂ vĂ©cu une telle expĂ©rience auparavant? (Les mots se sont rĂ©pandus avec un peu de surprise, d’excitation et de curiositĂ©)
Ayten: Quand nous allions rendre visite Ă mes tantes, son jeune fils, âgĂ© de 8-9 ans, passait sous la table de la cuisine ou du salon. Au moment oĂą il voyait mes pieds garnis, il frottait sa bite et appuyait sur mes pieds. J’avais l’habitude de jouer avec mes pieds et son pĂ©nis de temps en temps.
Quand OÄźuz a entendu ces phrases, il a laissĂ© son cĹ“ur battant rapidement Ă un tempo battant Ă la place. Des Ă©tincelles se formaient dans ses tempes aux mots qu’il entendait. D’autre part, Ayten Ă©tait de nouveau entrĂ©e en hypnose avec les manĹ“uvres qu’elle faisait avec son gros orteil sur le dessus de la tente.
Ayten: Alors allez, la petite ne goûtera-t-elle pas mes chaussettes?
OÄźuz Ă©tait dans un Ă©tat d’explosion Ă tout moment face aux paroles qu’il entendait d’Ayten. Ses mains tremblaient d’excitation alors qu’il ouvrait la fermeture Ă©clair. Le coq cherchait maintenant un endroit pour disperser sa lave comme un volcan, libĂ©rĂ© de l’enfermement sous tente.
Ayten: Regarde qui est là (avec un ton légèrement sarcastique)
Ayten joue Ă des jeux en collant l’eau de plaisir libĂ©rĂ©e par l’outil sur ses fines chaussettes fumĂ©es avec son gros orteil. OÄźuz devenait fou Ă chaque seconde face aux scènes qu’il voyait. Ayten commença Ă bouger son autre pied chaussĂ© avec de douces touches sur l’aine et les testicules d’OÄźuz. Il laissa l’autre pied pour jouer avec l’eau de plaisir collĂ©e Ă sa chaussette et commença Ă caresser le sommet du coq avec ses orteils. OÄźuz ne pouvait plus supporter le plaisir des bas nylon. Son coq vidait maintenant son sperme comme un volcan sur les magnifiques bas en nylon fumĂ©s d’Ayten.
Ayten: Votre tout-petit a dû avoir le cœur brisé (avec un sourire espiègle)
Oguz: Hı hı (Il ne pouvait pas faire une phrase avec la secousse de l’Ă©jaculation)
Ayten enleva ses fines chaussettes recouvertes de sperme et nettoya les gouttelettes de sperme qui restaient sur le coq et s’Ă©talaient autour. Pendant qu’OÄźuz installait le câble du moniteur, Ayten est allĂ©e dans sa chambre et est retournĂ©e au salon avec ses collants bronzĂ©s, qu’elle venait de sortir de l’emballage. Devant les yeux d’Oguz, elle a lentement
glissa ses bas bronzĂ©s sur ces jambes piliers. Bien que seulement 10 minutes se soient Ă©coulĂ©es depuis le magnifique plaisir qu’il a Ă©prouvĂ©, le coq d’OÄźuz a recommencĂ© Ă bouger. Il s’agenouilla devant les chaussettes bronzĂ©es d’Ayten comme un enfant espiègle dont le jouet avait Ă©tĂ© emportĂ©.
OÄźuz: Eh bien, pouvons-nous recommencer? (Comme un enfant timide)
Ayten: Je vais ĂŞtre en retard Ă l’Ă©cole. Je n’ai pas d’autres chaussettes en ce moment. Peut-ĂŞtre que la prochaine fois je pourrai te prĂ©parer une Surprise diffĂ©rente (Un autre sourire mĂ©chant)